“On ne souffre qu'une fois - on vainc pour l'éternité.”
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Colère du Ciel Boule disco & Chanteur de Piaf
Messages : 309 Points d'XP : 463 Date d'inscription : 15/02/2017 Age : 22 Localisation : dans le fort
Qui suis-je ? Genre : Masculin Grade : monture du caporal Autres infos :
Sujet: “On ne souffre qu'une fois - on vainc pour l'éternité.” Dim 29 Avr - 12:00
Colère du ciel Y a-t-il quelque part un ruisseau d'eau pure ? N'existe-t-il pas cet amour qui dure ? Le bonheur est-il bref comme un orage en ciel d'été ?
On ne souffre qu'une fois - on vainc pour l'éternité
Le sombre étalon tournait dans son paddock, mortel ennuie que cette matinée orageuse lui fait vivre, la colère du ciel siffle dans le fort, le temps chargé et sombre, le sombre étoilée se fige au milieu, le temps passe comme les flots d'une rivière, personne n'attends le rayon de soleil, encore moins le rêveur qui laisse la pluie glissait sur ces flancs, ces crins d’ébène alourdis par cette eau claire et pure, rien ne bouge dans le fort pourtant le jour est levé depuis longtemps, oh le temps court, il ruisselle sur cette journée, le Don Juan pourrait fuir, quitter cette vie, comme la colère du ciel qui descend rapidement vers la terre. Le beau, le fière, non il ne partira pas, il ne fuira pas, il a la liberté, il le sait, ça force il l'a trouvera, mais pas maintenant, non, en cet instant où la colère du ciel s'abat, où les éléments se déchainent, lui, il reste, immobile, telle une ombre, un souvenir de la nuit passée, cette nuit où son corps et le ciel ne font qu'un, oui, il est libre, il est le ciel, il est ça colère mais aussi ça paix.
Ô le beau séducteur qui attend son heure, figé mais noble, sauvage mais fidèle, séducteur et fière, il ne bouge pas, le froid, la pluie, rien ne l'afflige, la morsure du froid ne l’atteins pas, il ressemble tant a un fantôme, immobile dans son paddock, solitaire sous la pluie battante, il n'est point victime des éléments, ces tâches claires s'assombrissent, mais tout semble mort, seul les flanc du Don Juan rappelle la vie qui brûle en lui. Une porte claque, le fils du ciel semble reprendre vie, un homme, son nouveau cavalier court vers l'étalon ruisselant, il tente de l’attrapait, mais le sauvage se dérobe, ces iris brillent d'une lueur fière, il sait, il connait, le caporal l'appelle mais les sons se perdent dans la fureur céleste, rien ne semble pouvoir arrêter ce descendant du ciel, il ne craint pas cette pluie libre, puis finalement apaiser par ce bipède qui tente de l'attraper en dérapant sur le sol glissant, le sombre redevient une statue. Il ferme les yeux, des souvenirs reviennent, des souvenirs bannis, il sent un contact sur son chanfrein humide, puis des liens, ça liberté est finie, le caporal conduit le sauvage dans son abris, loin des juments, quel comble pour un être si fière d'être privé de celles qu'il aime. L'odeur de la paille sèche monte rapidement a ces naseaux, de grosse gouttes tombent de ça robe détrempée, il aurait tant voulut rester dehors, rester roi, rester libre. La pluie taper contre le toit, le sauvage laissa échapper un soupir puis avec calme il s’allongeât dans la stabulation, il était seul, Star' devait être entrain de travailler, le caporal avait sans doute voulut épargné a son sombre étalon un dur travail durant un jour aussi sombre, mais l'étoilée aurait voulut galoper sous cette pluie si belle et orageuse.
“On ne souffre qu'une fois - on vainc pour l'éternité.”
Suite au recensement, les effectifs ont été mis à jour et bénéficient à présent d'une toute nouvelle mise en forme !
D'autres nouveautés à venir sur le forum ! On vous laisse le suspens pour le moment ;)
En ce moment, dans le Cimarron...
D'inquiétantes disparitions sont à signaler, touchant chaque groupe, mais plus particulièrement les indiens et les solitaires, qui sont plus vulnérables.
Les troupeaux se sont organisés pour se protéger de cette menace invisible ; celui de Forêt Noire reste groupé tandis que les gardiens du troupeau d'Atlas multiplient les tours du territoire et restent aux aguets.
Les indiens ont l'interdiction de s'éloigner du camp seul, les soldats ont renforcé les patrouilles et les nomades surveillent activement les enclos des chevaux, tout en constatant le pillage de leurs cultures et de leurs pièges, certainement dus à des cavaliers solitaires profitant des tensions dues aux disparitions.
Les solitaires, eux, doivent rester sans cesse sur leurs gardes. Les tensions sont vives entre les différents groupes, qui s'accusent mutuellement des disparitions.
Certains auraient aperçu d'étranges cavaliers montés sur des chevaux richement harnachés, qui semblent éviter le contact...
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