I know, I'm a weak things. But, happily, weak things, one day, can become strong and powerful things.
Asrae & Tialmah
Tialmah, réfugié sous le ventre de sa mère, observait d'un œil curieux toute l'agitation qui les entouraient. Il semblait qu'une patrouille était sur le départ, et les hommes courraient en tous sens en jetant divers bouts de cuir sur le corps de leurs montures. Mais bientôt, tous furent en selle, et ils disparurent par la porte du Fort, ouverte pour eux... Et aussitôt refermée.
Le poulain fixa un long moment la porte. Il essayait de deviner ce qu'il y avait au-delà, ce qu'était un monde sans murs. Sa mère en parlait avec un tel chagrin dans les yeux... Cela faisait partie des rares choses qui semblaient la sortir un peu de son état de faiblesse. Mais il n'y arrivait pas. Était-il limité ? Il n'arrivait à rien voir d'autre que son monde habituel au Fort, entouré des hautes murailles de bois. Murailles, et prison.
Il soupira. Son regard se promena distraitement au alentours, cherchant un sujet d'intérêt. Hum... Il y avait bien Ebony, qui dormait juste là, mais la réveiller pour jouer entraînerait les remontrances de maman. Il soupira. Encore. Puis décida qu'après tout, il devait bien y avoir quelques chevaux auxquels il pourrait parler depuis l'enclos, qu'ils soient à l'attache ou dans les boxes. Le poulain était habitué à être une source d'admiration des plus âgés, et il avait appris à faire le beau, caracolant à travers l'enclos sous le regard amusé de sa sœur et sa mère.
Il quitta donc la protection du ventre maternel, et commença à longer la barrière.
Asrae s'était sentie si faible. Le souvenir de ces instants flottait toujours en arrière-plan, et il suffisait qu'elle tourne qu'un œil vers lui pour se sentir submergée.
Au début... cela n'avait été que douleur. Puis la douleur s'était prolongée. Et puis, elle avait eu l'impression d'être déchirée de l'intérieur, et la douleur avait atteint son paroxysme. Elle avait cru devenir folle. Et alors, toutes ses forces s'étaient faites aspirées dans cette brèche, et devenir folle n'avait plu paru être assez... Elle avait cru mourir. Mais même alors, elle avait l'impression que toute sa vie s'enfuyait loin, très loin d'elle. Ç'eut comme si la brèche aspirait encore sa force, et encore, et encore, alors même que plus rien de son énergie ne demeurait en elle. Et elle avait eut froid... si terriblement froid. Puis elle sentit, presque comme insignifiant, maintenant qu'elle ne se sentait presque plus entière, un nouveau déchirement, si extraordinairement douloureux pourtant.
Puis, le calme. Et sa vie qui continuait à fuir. Et tout en même temps, l'arrivée d'une nouvelle vie retentit dans la petite stalle. Il y avait un... non, deux petits corps chauds - tellement chaud que cela lui semblait comme un miracle au cœur d'un blizzard. Et son réflexe, alors, alors qu'elle sentait la mort l'attirer, avait été de s'écarter violemment. Elle ne voulait pas, non, elle ne voulait pas, que son... ses bébés touchent quoi que ce soit de mort, ni qu'elle soit ce premier contact en tant que cadavre. Mais elle était faible. Si faible, que son mouvement de recul fut certainement même pas perçu.
Ensuite. Elle ignore ce qu'il se passa, ensuite. Les instants suivants se perdent dans une brume presque chaude, et agréable à côté de son corps si froid...
Mais elle se réveilla encore, pour découvrir que le soleil était là. Et frissonner à l'étrangeté de sa caresse, qui chassait la brume.
Aux jours qui suivirent, elle récupéra peu à peu. Mais pas assez, pour la faire être... comme auparavant. Elle avait encore si froid. Il semblait niché dans ses os, inaccessible au soleil si chaud du désert.
Et elle découvrit ses poulains. Ils étaient si beaux, si parfaits, à l'aube de leur vie. Tialmah, et Ebony. Elle voulait tellement les protéger... Alors que la faiblesse faisait de chacun de ses pas une torture.
Un soupir, soudain, la sortit du souvenir. Tialmah. Il avait son regard des moments d'ennuis. Plus loin, Ebony dormait. Ce qui expliquait cela. Ils se suffisaient à eux deux, généralement, s'épuisant mutuellement. Alors quand l'un des deux dormait ou était occupé ailleurs, l'autre se retrouvait à embêter les chevaux plus âgés.
"Tialmah."
Elle avait voulu appeler, mais à peine un souffle sortit de sa gorge. Elle inspira, doucement, et répéta:
"Tialmah."
Cette fois-ci, un appel à peu près à voix haute. Elle reprit:
"Ne va déranger personne, s'il te plait."
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Tialmah
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Il crut entendre un murmure. Puis son nom, chevroté d'une voix faiblarde. Se retournant vers maman, il acquiesça alors. Lui ? Embêter quelqu'un ? Comment est-ce qu'il pourrait déranger quelqu'un. Pff. Mais son regard s'attarda avec colère sur maman, avant de se détourner. Il ignorait pourquoi il était tellement en colère contre elle. Peut-être n'était-ce qu'un moyen de cacher sa peur, en fin de compte. Il devait être fort. Il serait fort, pour Ebony.
Les cordes entravant ses membres...La sueur qui couvrait son corps musclé...Son pelage abîmé par le combat que vivante elle n’abandonnerait pas...Et la lueur haineuse dans ses prunelles de glace...Le poids de l’indien qui tentait de s’imposer à elle en se plaquant sur son dos, en s’imaginant en faire sa monture, le fou ! Et puis tous ces bruits incessants, horripilants,les propos des autres hommes à la peau de bronze , les cris d’admiration ou d’effroi des femmes, le piaillement des enfants qui se repaissaient de l’affrontement entre la bête et le bipède...La sensation d’être contrainte, forcée, soumise contre sa volonté...On appelait ça la méthode douce ? La jument savait qu’elle ne pourrait plus se rebeller longtemps, ses forces la trahissaient...Mais elle ne pouvait se laisser vaincre d’une telle manière, car elle ne le désirait pas...Son regard hagard frôla la barrière… D’un ultime effort elle se redressa, et entame une course la plus rapide possible malgré les entraves qui lui cisaillaient la peau...Une , deux...Elle briserait ou franchirait la barrière.Sauf que…
Ses yeux se rouvrirent brusquement.D’abord désorientée, la monture reconnut enfin le box où elle avait établi son repos depuis un moment déjà, l’odeur des autres montures, le murmure éternel des mille secrets du fort. Un certain plaisir naquit de ce bref retour à la réalité.Pourtant, elle s’ébroua, mécontente d’avoir revécu en rêve ce moment de son existence ; sa crinière d’argent vola, éparpillant avec grâce les quelques brins de paille qui s’étaient pris dans les crins aux reflets métalliques. La journée commençait bien… La soldate entendit le loquet en fer s’ouvrir, laissant place à Stan.Celui-ci eut un sourire pour Khyda, et prit soin d’elle avant de retourner vaquer à ses occupations du jour;le loisir équestre attendrait un peu. La jument décida de jeter un coup d’oeil à sa nouvelle voisine, celle avec des crins rouge sang, de plus il lui semblait entendre des sortes de pépiements...Un poulain ??
« Bonjour. »
Lança-t-elle par pure politesse en levant la tête un peu au-dessus de la barrière qui les séparait.
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Asrae souleva sa tête en entendant une voix étrangère. Même sa tête lui paraissait si lourde... C'était Khyda. Son instinct protecteur se mit aussitôt en branle. Ce n'était pas qu'elle craignit spécialement l'autre jument, mais plutôt qu'elle ne la connaissait pas. Elle s'avança - plutôt se traîna - jusqu'au côtés de Tialmah, vérifiant d'un coup d'œil que Ebony dormait toujours, et était toujours sans danger immédiat. Puis elle salua l'autre jument d'un hochement de tête. La dernière fois qu'elles s'étaient vues... Oulà, cela faisait un moment, maintenant. Elle n'était même pas encore enceinte. Mais l'autre lui avait paru étrange, proposant une sortie pour se rétracter aussitôt. Son intention, de base, avait été d'entamer la conversation, mais rien que traverser l'enclos l'avait épuisée. Elle laissa sa tête tomber, et essaya de reprendre son souffle.
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Puis, soudain, il sembla que les choses devenaient intéressantes. Une jument, aux crins presque blancs, passa la tête par-dessus sa barrière. Puis elle le salua.
"Salut.", répondit-il.
Sans doute qu'il aurait pu ajouter quelque chose, mais pour l'instant il se contentait de fixer l'autre, les sourcils froncés. Ça lui faisait bizarre de se retrouver face à quelqu'un qui ne soit ni Ebony, ni papa, ni maman. En parlant de cette dernière. Il souffla d'agacement en entendant ses pas qui raclaient le sol, puis venaient s'arrêter derrière lui. Il avait l'impression d'être un foutu mouton, gardé par un foutu chien de berger. Il tourna brusquement la tête, voulant rétorquer quelque chose... Puis il la vit, essoufflée, après juste la traversée du paddock. Un frisson de peur, puis de colère, le traversa. Brutalement, il lui tourna à nouveau le dos, puis adressa un nouveau regard à l'étrangère. Puis il s'enquit, plus pour penser à autre chose que par réel intérêt:
La monture du Lieutenant vit s’avancer la mère, à grand peine visiblement:Khyda fronçait les sourcils.Est-ce la venue du petit qui...du???Non, des. Elle venait d’apercevoir un autre qui dormait là-bas, sur la paille. C’était tout de même étrange.Indisposée par l’idée qu’avoir des petits (ce qui lui était déjà étranger comme désir), elle ne pouvait supporter les dégâts qu’ils provoqueraient en naissant;c’est vrai, elle n’avait pas eu beaucoup le temps d’apercevoir cette nouvelle aux crins rouge.Et de mémoire elle n’avait pas noté que celle-ci attendait des poulains. Elle répondit au vague salut de tête de la jument épuisée par un signe de la même nature.
La voix du poulain la ramena, une fois de plus, à la réalité. Il n’était pas timide, c’est le moins qu’on puisse dire, songea-t-elle en fixant ses prunelles de glace sur lui :
« Je suis Khyda, et toi ? »
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Asrae inspira profondément, se sentant un peu mieux après sa pause. Elle se retrouvait avec sa progéniture qui allait embêter Khyda... Non mais franchement, il n'aurait pas pu choisir un autre cheval, un peu moins froid ? Tialmah semblait avoir un don. Elle s'apprêtait à s'excuser... Quand elle se rendit compte que son bébé paraissait très bien se débrouiller.
Et puis, après tout, s'il ne l'embêtait pas, cela l'occupait, ce qui était très bien. Restant en retrait, elle se décida à se contenter d'écouter.
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HRP:
Et si ça t'embête pas, je vais rep juste avec Titi maintenant, sauf en cas d'intervention obligée x)
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Sujet: Re: "Tu devras courir" - Khyda, Asrae & Tialmah [Libre] Dim 4 Nov - 15:37
Tu devras courir
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Il crut pendant un moment que maman allait dire quelque chose, mais il s'était décidé à l'ignorer, alors il répondit, sans faire attention à elle :
"Je suis Tialmah."
Mais il n'accordait que peu d'importance au nom. Il secoua sa maigre crinière, et, impatient, demanda, sans laisser le temps à Khyda de dire quoi que ce soit :
"Khyda. Et qui es-tu, ici ?"
De ce qu'il avait compris, chacun au Fort avait un rôle et un rang. Papa possédait le plus haut. Maman... le plus bas. Où était cette jument, à la belle crinière argentée ? Voilà ce qui l'intéressait, maintenant qu'il se retrouvait (enfin ?) face à quelqu'un d'inconnu.
Sujet: Re: "Tu devras courir" - Khyda, Asrae & Tialmah [Libre] Dim 4 Nov - 23:50
Tu devras courir
La jument aux crins rougies ne broncha pas. Assurément, elle devait être fatiguée, et c’était compréhensible. L’autre, le jeune, ne se démonta pas. Etait-il enhardi ou simplement las de rester enfermé ? Elle faillit sourire, en s’imaginant enfermée toute la journée, sans possibilité de découvrir et de choisir ce que bon lui semblait. Aussi, la monture regarda sans dureté Tialmah qui semblait impatient de découvrir à qui il avait affaire.
« Monture du Lieutenant .Cela semble une question d’intérêt, pour toi. »
Répliqua-t-elle d’un ton assez neutre. Qu’allait répondre ce petit plein d’entrain ? Elle approcha encore un peu, attrapant du bout des lèvres un brin de foin.
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Tialmah renâcla.
"Une question d'intérêt ? Pas vraiment. Mais c'est ce qui fait tourner le Fort, et il est de ma survie de connaître ce genre de chose."
Il secoua sa frêle tête, et reprit :
"Monture du Lieutenant, hein ? Alors tu dois être au courant de tout ce qui se passe par ici. Et tu dois sortir. Voir le monde. "
Un brin d'envie s'insinua dans sa voix sur ces derniers mots. Il se racla la gorge, et demanda :
"Comment est-ce, tout cela, donc ?"
Il jeta un furtif regard en arrière, vers maman, mais celle-ci semblait juste s'amuser de son attitude. "Pfff." Il revint à la puissante jument, et planta son regard dans le sien.
Ma parole, le jeune parlait déjà comme un vétéran de la cavalerie!Cela fit vaguement sourire la monture. Encore heureux qu’il n’était pas du niveau de la ‘survie’ que de savoir qui faisait quoi…Quoique. Un grade ne faisait pas tout, qu’est-ce que cela signifie réellement pour des chevaux, après tout?Pas grand’chose. Un humain qui les montait portait un titre spécifique, et après ? Quelques avantages pour les montures concernées, et encore ? Quant à connaître tout des ragots du forts...Non, Khyda ne s’y entendait guère, car elle fuyait ce genre d’informations. Elle savait ce qui lui était nécessaire , et c’était déjà bien. Néanmoins, elle comprenait que le poulain piétine d’impatience à l’idée de découvrir tout un monde. Mais qu’y avait-il à découvrir, entre les quatre palissades du fort ? Vaste question.
« Le monde qui se restreint au fort n’est rien. Tu le découvriras bientôt, la notion d’espace est très variable…Pour moi, ce qui compte, ce n’est pas la hiérarchie, les rumeurs concernant les montures...Non. »
Elle se pencha un peu vers le petit, comme pour un tête à tête
« Le vrai monde, c’est notre liberté. Choisir ce que nous voulons faire, et l’accomplir. Galoper sur des kilomètres, voir des paysages à couper le souffle...Ou bien poursuivre des voleurs sous les ordres d’un homme qu’on respecte. »
Elle avait baissé la voix, et durant ce petit intermède, ses prunelles avaient brillé. Puis elle se redressa, repris son attitude froide et distante.
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Sujet: Re: "Tu devras courir" - Khyda, Asrae & Tialmah [Libre] Mer 9 Jan - 23:22
Tu devras courir
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"La notion de l'espace. Pour l'instant, la mienne se réduit au Fort., il gronda sourdement, rageusement. Alors j'aimerais bien pouvoir avoir autre chose, mais il n'y a rien ici."
Fébrile et soudain furieusement jaloux à l'idée de tout ce monde dont elle parlait, et auquel il n'avait absolument pas accès, il ne put tenir en place, et fit volte-face, voulant s'élancer pour évacuer le bouillonnement qui prenait ses jambes... Il se retrouva devant maman. Sa mère, sérieusement. Comment avait-il pu naître d'une jument si faible ?
Pourquoi n'avait-elle pas été une sauvage, libre et impétueuse, ou même une soldate - il aurait pu se contenter d'une soldate, si au moins elle avait été fière et forte.
Mais en même temps il ne pouvait rien lui faire parce que sa faiblesse ne faisait que lui donner envie de la protéger - un comble, n'était-ce pas lui le poulain ?
Alors il se contenta de se détourner, écœuré, et de marcher vivement de long en large dans l'enclos. Enfin, il se calma. Son regard monta à l'assaut des murailles du Fort, puis rencontra l'infinie liberté du ciel.
Il se rapprocha à nouveau de Khyda, puis demanda :
Sujet: Re: "Tu devras courir" - Khyda, Asrae & Tialmah [Libre] Dim 20 Jan - 11:49
Tu devras courir
Une question directe et bien indiscrète. La jument le considéra un moment, après qu'il ait fini de tourner en rond comme un fauve enragé:
-Pourquoi te le révèlerai-je?
Murmura-t-elle avec une once de défi envers le jeune. En fait, le caractère du petit l'amusait beaucoup. La soldate arracha quelques brindilles de foin d'un tas voisin, pour passer le temps.
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Sujet: Re: "Tu devras courir" - Khyda, Asrae & Tialmah [Libre] Mer 30 Jan - 15:48
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Tialmah lui retourna un regard froid, vaguement agacé.
"Et pourquoi pas ? Qu'est-ce que vous avez à y perdre ?"
Franchement, est-ce qu'elle blaguait ? Il secoua la tête. Le lui réveler ? Vraiment ? Pour quelles raisons pouvait-on vouloir garder ça pour soi ? Par égoïsme pur ? Il n'en voyait absolument pas la raison.
Suite au recensement, les effectifs ont été mis à jour et bénéficient à présent d'une toute nouvelle mise en forme !
D'autres nouveautés à venir sur le forum ! On vous laisse le suspens pour le moment ;)
En ce moment, dans le Cimarron...
D'inquiétantes disparitions sont à signaler, touchant chaque groupe, mais plus particulièrement les indiens et les solitaires, qui sont plus vulnérables.
Les troupeaux se sont organisés pour se protéger de cette menace invisible ; celui de Forêt Noire reste groupé tandis que les gardiens du troupeau d'Atlas multiplient les tours du territoire et restent aux aguets.
Les indiens ont l'interdiction de s'éloigner du camp seul, les soldats ont renforcé les patrouilles et les nomades surveillent activement les enclos des chevaux, tout en constatant le pillage de leurs cultures et de leurs pièges, certainement dus à des cavaliers solitaires profitant des tensions dues aux disparitions.
Les solitaires, eux, doivent rester sans cesse sur leurs gardes. Les tensions sont vives entre les différents groupes, qui s'accusent mutuellement des disparitions.
Certains auraient aperçu d'étranges cavaliers montés sur des chevaux richement harnachés, qui semblent éviter le contact...
Envie de nouveaux lieux de RP, d'un personnage à l'apparence spéciale, d'un nouveau compte sans avoir les messages requis, de vivre un coup de foudre, d'avoir des jumeaux ? A la boutique, vous pourrez acheter tout cela et bien plus ! N'hésitez pas à profiter des réductions anniversaire & privilégiés !