From the storm was born fire, beware of what was

Nuage d'orage

&

Flamme

From the storm was born fire, beware of what was

L'astre d'or nimber l'horizon de ça robe orangée, tandis que le jeune étalon s'étirait sous la chaleur matinal. Le camp commençait à se mouvoir, les hommes envahissait à nouveau le paysage, alors Nuage d'orage s'éloigna, cherchant le calme solitaire des montagnes il gravit le sentier rocailleux. Nul de sait à quoi il peut penser au milieux de cette odeur de mousse, il arrachait quelque brin d'herbe isolé par ci par là. Il parvint finalement au sommet, devant lui l'herbe poussait plus abondamment que sur le sentier, loin par delà les sommets il pouvait voir les terres libres des troupeaux sauvages. Mais derrière lui il percevait encore le cris de certains chasseurs qui galopait en contre bas, c'était ça la vie qu'il avait choisit, au devant il avait la liberté et derrière lui il avait la soumission, tel un électron libre il appartenait aux deux.
Un bruit de sabot le fit sortir de sa contemplation, le frisé tourna son encolure vers un autre sentier pour observé celui qui venait tromper ça quiétude.

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Prête à te faire victimiser ? xD

From the storm was born fire, beware of what was

Flamme revenait sur les terres des indiens. Pas par goût du risque, non, juste par cette curiosité qui caractérise bien les yearlings. Oh, surtout pour espérer croiser un de ses anciens compagnons, et de leur rappeler à quel point elle était méchante. Mais ils n'avaient jamais le droit de sortir, loin du camp, et elle n'était pas suicidaire. Pas comme Prodige. Au contraire, elle n'allait pas les rejoindre au milieu des tipis, pour se faire tacler par les autres, se faire harceler. Elle errait dans la montagne, et se souvint avec nostalgie de sa rencontre avec Rey. La pouliche nomade l'avait impressionnée avec son répondant, et elle aurait été si heureuse qu'elle la rejoigne chez Atlas. Ouh, que cela aurait été fantastique ! L'autre stupide Electra se serait tue directement en les voyant arriver en duo.

La coupant dans ses pensées, un bruit de chute de cailloux. Elle fit doucement volte-face, pour ne pas tomber, et se trouva à quelques mètres de Nuage d'Orage. Tiens, donc, une bonne vieille connaissance. Elle lâcha un mesquin sourire, et s'avança, tout tranquillement, ne le quittant pas des yeux. Elle savait bien qu'il ne l'aimait pas trop, mais elle risquait de bien s'amuser avec lui. Il était bien trop niais et trop gentil pour elle :
"Oh, Nuage d'Orage. Comme je suis heureuse de te revoir. Ca fait si longtemps, que je suis partie. Vous m'aviez espéré morte, hein ?"

Nuage d'orage reconnu rapidement le sourire de celle qui venait lui tenir compagnie, cette chère Flamme, elle était partie pendant un moment à la plus grande joie de tous, mais comme certains le disait elle reviendrai tôt ou tard... Et tristesse se sombre jour était arrivé... Alors le frisé s'avança vers la yearling qui entama la discussion comme à son habitude.

- Flamme ! Se serait mentir que de te dire que tu m'as manqué...

Il prit un aire plus sérieux, il savait jouer comme elle ne saurait jamais le faire.

- Comment se passe ton intégration dans le monde sauvage ?

Il détourna a nouveau don regard sur l'horizon et soupira déçu de cette présence.

- Tu veux déjà rentré ?

Il lui lança un coup d'œil malicieux, il comptait jouer un peu, voir comment la petite avait évolué, car au fond il l'aimait bien, son franc parler et ça manié de se croire supérieur l'avais toujours amusé.

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Ft Nuage d’Orage br/>

From the storm

Nuage d'Orage ne l'avait pas oubliée, à en voir son regard surpris, qui persistait. Une lueur de déplaisir brillait dans ses yeux, d'ailleurs. Pourtant, c'était d'une voix guillerette qu'il s'exclama :
- Flamme ! Se serait mentir que de te dire que tu m'as manqué… Comment se passe ton intégration dans le monde sauvage ?

D'un coup d'encolure plutôt puissant, elle rejeta sa crinière de feu, qui poussait, à son émerveillement. Les crins ras étaient un bien loin souvenir. Elle lui lança un sourire flamboyant, légèrement moqueur, mais aussi sincère et heureux. Elle était plutôt fière d'avouer qu'elle avait été recrutée dans le troupeau d'Atlas, alors qu'elle avait commis un crime quelques instants auparavant. Il avait dû être admiratif de son acte, et de son sang-froid, se disait-elle au fond de son esprit. Elle repoussait l'idée qu'il ait acceptée de la prendre comme une lambda pouliche, demandant de la protection d'un meneur.
- Tu veux déjà rentré ?

Il la prenait pour une faible. La champagne lui lança un regard outré, et secoua négativement la tête. Jamais elle ne retournerait dans cette prison. C'était bien trop ridicule que de devoir resté enfermé dans un camp, alors qu'on criait partout que les indiens laissaient leurs équidés se balader. Anoki n'avait pas écouté ses conseils, et pourtant, le frisé s'était déplacé seul. Finalement la monture de Bidziil avait pris en compte son objection. Même absente elle révolutionnait le monde ! Elle était réellement indispensable partout !

"Je vis très bien mon intégration. Notre meneur m'a recrutée et je pense beaucoup évoluer dans l'enceinte du troupeau. Jamais je ne rentrerai. Vous feriez mieux d'en faire de même, mais vous êtes trop peu audacieux pour risquer votre vie dans une nature sauvage", répliqua-t-elle, moqueuse. Elle était courageuse, voire téméraire d'avoir suivi le Titan à la crinière emmêlée, mais aussi aux fanons ensanglantés. Il aurait pu la tuer, mais il était pour elle impossible de ne pas avoir cédé à la tentation. Comme hypnotisée, elle l'avait rejoint. Et ne regrettait pas son geste ! Cette douce chaleur que de l'avoir à ses côtés brûlait encore dans son cœur.

Elle continua, faussement intéressée :
"Et avec Toupie, ou Utopie, vous êtes toujours aussi n'amoureux ? Ou le ridicule de votre union l'a tuée ?"

Nuage d'orage

&

Flamme

From the storm was born fire, beware of what was

Le palomino l'observais en faisant mine d'être fasciné parce qu'elle disait, même si il n'en avait que faire, la vie sauvage ne l'intérréssait pas, ici il était libre et ne manquait de rien, il devait juste être disponible quand son cavalier voulait chasser, Nuage d'orage ne voyait pas vraiment ce que l'audace venait faire dans le discours d'une si frêle jument, après tout il lui semblait normale qu'un meneur accepte volontiers une jument au sein des sien sinon comment ils aurait fait pour survivre sans jument ? Autant dire qu'elle ne risquerait absolument rien contrairement aux étalon de sa harde et c'est bien se qui dérangeait Nuage d'orage.

- Tu as raison il doit falloir énormément de courage pour vivre là bas !

Il n'en pensait pas un mot, mais enfin si ça pouvait faire plaisir a cette stupide pouliche qui vivait dans un monde idéalisée par ces propres idées. Mais il ne sut pas si elle avait écouté ça réponse car elle attaqua directement pour parler d'Utopie, le frisé savait qu'elle s'en fichait mais bon si elle pose la question, il faut bien lui répondre.

- Avec Utopie ? Mais tu n'est pas au courant alors ?

Il prit une allure triste, en faisant mine d'être surprit par la question.

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Nuage d’Orage
Indiens

Flamme
Troupeau d'Atlas

From the storm was born fire, beware of what was

Frisette l'écoutait, avec une attention qui lui plaisait fortement. Oh, il en faisait un peu trop, avec ses yeux écarquillés, presque la bouche ouverte, à la fixer comme si elle était une déesse venue lui confier une prophétie. Mais comme il était idiot, elle ne comprendrait sûrement pas qu'elle le rabroue alors qu'il était pour une fois agréable avec elle. Il était sûr que sa vie était fortement plus palpitante que la sienne, et que celle de Toupie, et que les indiens, à force de rester groupés, ne pouvaient pas se raconter de nouvelles croustillantes.
"Tu as raison il doit falloir énormément de courage pour vivre là bas !"

Flamme se rendait bien compte qu'il en faisait des tonnes, peut-être pour qu'elle reste. Un peu d'audace ne ferait pas de mal à ce pauvre Curlytte, qui passait sa vie avec une jument qui craignait les chouettes. Un hennissement paniqué, et on était sûr qu'on avait affaire à la pauvre qui avait pu voir un oiseau. Parce qu'un aiglon c'est effrayant, tout le monde le sait. Elle hocha la tête, un air supérieur vissé sur son visage tout en délicatesse.
- Avec Utopie ? Mais tu n'est pas au courant alors ?

La jeune jument haussa un sourcil, étonnée par ce retournement de situation. Oh, alors leur couple si solide n'avait duré que quelques semaines ? Pas même un printemps ? Quel dommage. C'était si ridicule que c'en était marrant à voir. Un léger sourire sur le coin des lèvres, elle répliqua, toute tranquille :
"La toupie a roulé jusqu'à Anoki ? A moins que tu ne l'aies pas protégée d'un corbeau ?"

Elle lâcha un petit rire, et reprit, en référence à ses peintures bleutées :
"Un tsunami t'a ravagé de tristesse. Reprends-toi mon garçon, et fonce. Ozalee est encore libre !"

Nuage d'orage

&

Flamme

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Nuage d'orage la fixa d'un air grave et il fut surpris du conseille de Flammes, qui lui fit remuer les oreilles amusé, finalement se serait plus amusant que prévus.

- Utopie nous a quitté il y a trois jours...

Il laissa ça phrase en suspens pour lui laisser faire son effet puis après un court instant il reprit plus fièrement.

- Et Ozalee n'est plus libre !

Il lui fit un petit clin d’œil sur ces mots, peut importe qu'elle le croit ou pas cette petite l'amusait et ça bêtise lui manquait, le camp lui semblait vide sans cette petite langue de vipère, cette rencontre aller lui faire ça journée et bien sur il se doutait parfaitement que Flamme n'était pas intéressée par ce qu'il lui racontait, mais tant qu'elle restait là c'était bien qu'au fond elle ne c'était pas totalement détournait des indiens malgré se qu'elle voulais faire croire.

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Nuage d’Orage
Indiens

Flamme
Troupeau d'Atlas

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Frisette lâcha un petit rire amusé, et l’orgueil de Flamme grimpa en flèche. Qu’ils soient idiots ou non, les autres l’idolâtraient toujours autant. Il fallait dire que ça devait manquer d’ambiance, au campement, vu qu’Anoki était inévitablement déprimé et que les autres s’appuyaient sur lui pour savoir de quelle humeur être. Ce n’était pas rare de voir le petit chef de pacotille déprimé, et ses acolytes le moral au plus bas. Elle, elle préférait rester fidèle à elle-même, et ne pas se fier à la joie ou à la colère contaminante des autres.
« Utopie nous a quitté il y a trois jours … »

La pouliche haussa un sourcil, et, finalement, se mit à sourire. Elle n’était pas certaine d’avoir compris les propos de Bouclette. Etait-ce simplement qu’elle était morte, ou bien juste disparue avec tant d’autres ? Ou bien simplement les deux ? Tout le monde trouvait tabou d’avouer qu’untel ou untel était décédé, alors que ce n’était que le cycle de la vie. Oh, parfois c’était prématuré, il était vrai, mais ils finiraient tous comme ça.

« Et Ozalee n’est plus libre ! », finit-il, une pointe de fierté dans sa voix, qui se faisait cérémonieuse. La champagne n’était pas plus stupéfaite que ça de voir que la princesse avait trouvé un prince charmant. Mais le futur roi se révélerait peut-être crapaud. Elle était si naïve, si niaise. Bah, tant mieux pour elle, au fond. Du moment qu’elle ne lui faisait pas de concurrence, c’était parfait. Et qu’elle ne lui pique pas Atlas. Mais une petite leçon, sans lui briser le cœur, ne lui ferait pas de mal non plus. Pour la ramener au pays de la réalité, et qu’elle quitte une bonne fois pour toutes l’univers de paillettes et de l’amouuuur infiiiiiniiiii.

« Elle est morte ? Eh bah, tu l’aimais beaucoup ton n’amoureuse, pour ne pas pleurer sur son corps bouffé de vers et de corbeaux. C’est pas super sympa ! » renchérit-elle, moqueuse. Leur couple était pour tous comme une évidence. Deux nunuches réunies, oui, c’était logique. Et voilà que trois nuits seulement s’étaient écoulées depuis que son âme sœur s’était séparée pour rejoindre un autre monde, et il s’en contrefichait. A moins qu’il n’ait sauté sur Ozalee ? C’était sûr, le style n’était pas le même, et la beauté non plus.

« Oh, la petite princesse a trouvé fer à son sabot ? Fais attention à elle, elle est si niaise ! Ce serait bête qu’elle ait le cœur brisé. »

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