Quand le cauchemar doit s'occuper d'un électron..

La poussière, la sécheresse...L'étalon ombré était enfermer dans on box depuis 2 jours, 2 JOURS ! Dystopie en avait marre, clairement, il avait qu'une idée sortir d'ici. Le soleil tapais sur le bois usé de son box. Le cheval lever depuis bientôt plusieurs heures impatient, de sortir de là. Un bruit sourd, un loquet qui s'ouvre, et le soleil qui rentre enfin dans se box sombre et livide.

L'humain est là ouvrant la porte, la refermant directement derrière lui, la longe bleu brodée de fil d'or pendent dans ces mains. L'étalon brusquant un peu l'humain gratta le sol avec son sabot ferrer, l'humain se pressa quelque peu, passa un bras au-dessus de l'encolure pour fermer le licol. 

Le cheval pifai impatient de sortir, l'humain n'eu pas besoin de le tirais vers l'extérieur, l'étalon le suivais de lui même. Son esclave l'accrocha a la rambarde, le soleil tapait sur son pelage à moitié sombre, la sécheresse avait rendu son pelage sale et poussiéreux. Le soldat se mit donc en tête de nettoyer l'étalon, celui-ci le vie approcher avec une brosse métallique, l'homme connaissait que quelques unes des hommes sensibles du cheval ne devait surtout pas être toucher au risque d''être salement amochée. 

Il ne se risqua donc pas à le brosser sur les zones telles que le ventre et la tête. L'étalon tapa du pied, "t'a pas bientôt finis ? Esclave !"  

Une fois brosser et arracher le cheval fût amener dans le corral, l'étalon remarqua quelques nouvelle monture, des étalons, et une jument. L'étalon haussa un sourcil, "tiens, sa fait longtemps qu'on avait pas vus une jument dans ce trou à rat."

Son cavalier l'emmena au centre de celui-ci, c'était à se demandais pourquoi, lui, le seigneur de ces lieux devait se confiner à cette tache qui lui plaisait autant que renifler un derrière de cochon. Bien entendus surveiller des chevaux n'était pas des plus fatigant, non, mais ce qui le fatiguer bien plus était de rester planter au soleil à surveiller des abrutis qui galope jusqu'a se rendre compte qu'il vont crever de soif s'ils ne s'arrêtent pas. 

L'étalon redressa les oreilles, un de ses esclaves avait laisser unes des barrières ouverte et uns des mustangs tenta de s'enfuir, Dystopie galopa, plus vite que l'éclair, et se posta devant la barrière. Puis il regarda le cheval et, la tête haute, lui dit :

"- Retourne à ta place." Dystopie fut froid comme la glace, le cheval le regarda, quelques peu déconcertée puis retournas faire ces cercles interminables.

Son cavalier referma la barrière puis remonta sur l'étalon, et ils se dirigèrent au centre du corral. Le cheval se reconcentra sur les chevaux sauvages. 

Electra venait d’arriver il y a quelques jours, la pauvre qui ne connaît que la livre, elle ne connaît vraiment rien de ce lieu, ni des hommes qui étaient là, elle n'avait pas vraiment peur, mais elle ne savait pas vraiment qu'en pense. Déjà que quand elle est arrivée elle, c'était blessent ses jambes et sur son flanc du côté gauche, elle avait été faible. Elle regardait le ciel comme si celui-ci pouvait la sauver, elle prit un galop pour vide son énergie, elle pouvait voir d'autres chevaux sauvages au galop pourquoi faire, elle savait avec cette chaleur, il va se tuer.

Cette blessure était encore vue mais, elle ne faisait plus aussi mal que ce jour où elle tomba à trop vouloir faire la maline et bien elle cette trouvé comment une pauvre proie, elle se voulait voulais, elle avait été stupide. Elle reprit un galop, un petit galop sans vraiment forcer. Elle regardait et c'est là quelle vis cet étalon blanc, vu qu'il bloque un autre cheval, il devait vraiment être domestique. Elle galopait dans le corral, elle mord enfin essayez-te morde tout humains qui passent par là. Bien quoi o moins elle n'avait pas faim, avec toutes les chemises qu'elle avait déchirées jusqu'ici, elle montre qu'elle n'était pas facile.

Jamais elle ne serait comme ces chevaux-là, des bêtes de foire, elle voulait voir où était colère du ciel pour lui dire deux, trois mots mais, elle ne pouvait car à chaque tentative de fuir, un humain ou plutôt un groupe arrive à la remettre dans ce truc plein de sable. Elle resta calme un moment quand d'un coup, elle vit l'homme avec ce cheval blanc et noir arrive, ce Dystopie, elle ne connaît pas ce nom à ce moment-là. Elle se cabra et galopait vers eux, jeta ses dents vers le cavalier pour lui arracher une manche de son beau costume.


Elle jeta un regard noir vers l'étalon, elle aussi pouvait vers l’étalon, s'il voulait jouer à se jouer là. Elle ne voulait pas vraiment rester là, elle reprit un petit trot pour partir loin deux avec la manche en boucher, elle sourit et dit « vient le chercher, petit domestique » lancée t'elle cela vers l'étalon et son truc qui lui serre d'humain.

Elle voyait le sable et la poussière, elle vit aussi aux loin, un cheval qui était occupé à se faire couper les crins, cela la mettre en rage, elle sent le fer et la chair brûle, comme cela pouvait être possible que des chevaux acceptent ce traitement-là. Elle ne fit pas vraiment attention à l’homme où même à ce Dystopie . Après tout qu'il allait t'il fera, pour elle il était juste un domestique.

Dystopie regarda la jument d'un air dédaigneux, surpris par l'audace de la femelle. Il n'aimait clairement pas ce genre de comportement mais l'humain qui était son esclave, lui s'esclaffa. "Il trouve sa drôle en plus ?" L'étalon secoua la tête complément désespéré. La chaleur était vraiment insupportable, la jument trottina blesser certainement à cause des blessures subit lors de sa capture. Le cheval se demanda si ce n'était pas colère du ciel qui lui avait infliger, puisqu'il avait vu l'étalon étoilé rentrer avec quelques chevaux sauvage. 

L'ombré fut fatiguée de rester planter là au milieu de chevaux qui lui donnée envie de vomir, tous ces cercles infinie, "beurk".

Quelques monter de poussière s'élevèrent quand l'étalon sombre galopa pour se défouler, il s'arrêta près de la jument. Le cheval la bloqua avec force contre la barrière, mettant tous son poids. Elle ne pouvait plus bougeais, le cavalier du sombre en profitant pour lui passer un licol, d'une couleur plus clair que le siens. A la fin de cette intervention Dystopie, s'écarta, puis lança un sourire enjôleur à la jument, même si il savait pertinemment que se ne serais qu'un coup d'un soir si ils le faisaient. Il était incapable d'aimer, impossible pour lui, tous ces chevaux lui sont bien inférieur.

La formations des nouveaux n'était pas le truc le plus cool pour l'étalon, pourtant casser les novices était assez drôle. Les voir se débattre, sous cette chaleur. Il souris face a cette pensée, puis son cavalier tira légèrement sur les renne lui intimant de s'arrêter, il ne le fit pas tout de suite, mais quand il vit 2 petite perle bleu électrique il s'arrêta curieux de voir sa réaction. Il éleva la voix:

Electra fut surie bloquée ainsi par cet étalon, attend, il voulait jouer, cette trop la jument coulait bouge, mais avec la chaleur, les efforts fournis, elle n'avait pas la force. Il était habitué à tout ça alors pourquoi, elle laisse pour finir mettre ce truc sur sa tête beaucoup plus claire de celui de l'étalon. Elle le regardait, pourquoi voulait l'amusement d'elle, partout tous ses cheveux cette encore elle qu'on venait chercher. Bon, le pauvre humain lui ce normal après tout Electra avait bouffe sa chemise c'était un peu normal qu'il voulait se venger. Elle reste bloque avec ses cordes et ce stupide licol, elle était assez forte pour ne pas bouger d'un pouce. Il pouvait galop s'il le voulait, voir la trentaine au sol elle n'avait rien à faire. Il voulait jouer au dur et bien bienvenue chez Electra.

« Tu crois que je vais de suite comme ça, mais tu te crois pour qui ? Franchement, je ne bougerais pas » dit-elle froidement envers l’étalon, il pouvait courir, s'il voulait. Electra, elle resta la regarder l'étalon de haut en bas avec ce stupide humain. Dès que l'humain tirait sur le licol, Electra fit de même, s'il veut, elle pourrait lui faire bouffer de du poussier en plus. Dès que l'humain tirait sur le licol, Electra fit de même, s'il veut, elle pourrait lui faire bouffer de du poussier en plus. « Celle de suivre des ordres de stupide humain alors oui, là, c'est vous le champion, ça, c'est sûr » répondra-t-elle sec ment. Elle se fout bien de l'humain. Elle détourne le regardait de l’étalon. Elle regardait ce soleil et ce ciel bleu, elle voulait savoir comme cela pouvait se faire quelle sois là comme une vulgaire proie. Elle regardait la plus par des chevaux d'ici avait les crins coupés et un " U. S " marque en fer rouge, elle parla assez fort pour que l'étalon l’entende senti pour autant faire attention à ses paroles « franchement comme on peut accepte cela. »

Bizarrement la jument intrigua l'étalon, il la regarda, plus intéresser. Elle le cherché sa s'était sûr, elle avait du répondant, cette jument n'était pas moche, elle était tout à fait... Enfin. Sa crinière faite de mélange de couleur, son corps musclée prouvait bien sa vie sauvage, la preuve puisque toute ces réflexions tourner autour de sa propre détention. 

"- Arrête de croire que ce monde est fait de liberté. La liberté n'est rien, par contre, tendis que le pouvoir..." Le cheval tournas la tête vers la jument. "Mais pour que le rêve se réalise, il faut détruire la réalité, je suis le cauchemar qui changera ce monde, quitte à faire des sacrifices." L'étalon continua sa démarche non-chalante, et se dirigea vers la sortie. L'uns des humains ouvris la porte et laissa passer les deux chevaux ainsi que le soldat.

  L'étalon lui crever de chaud et clairement il en avait terriblement marre, mais même si la chaleur l'inssuporter, c'était surtout les remarques incessantes de la captive, qui lui sembler inutile, et très inintéressant.

Comment une femelle oser-t-elle lui adresser la parole ? Les jument sont faible, curieuse et inutile. Dystopie avait sont destin a accomplir, et il le savait pour pouvoir y parvenir, il pourrait enfin... Mais alors qu'il flirter avec un doux et magnifique rêve, la jeune pouliche couleur sabre marmonna quelques parole qui lui sembla inaudible. 

  Mais unes de celle-ci l'interrompes dans sa marche, elle lui demanda pourquoi sa croupe était nu sans aucune marque des Hommes. Il ne s'était jamais posée la question a proprement parler, il savait que cette pratique se faisait sur les chevaux qui arrivaient, mais lui n'en avait jamais vraiment eu, de plus la seul fois où il aurait pus être marquée, il avait assommée les 3 soldats qui le retenait au fameux pilier. 

"- Je n'en ai jamais eu. Tu peux pas comprendre, tu est sauvages et une femelle..." Il avait légèrement tourner la tête, "Ne cherche pas, tu ne pourras pas me faire flancher." 

Le cauchemar ambulant secoua son encolure pour enlever toutes cette sueur qui coulai le long de ces poils.

Le mâle souffla... "Quel imbécile.."
Effectivement la jument était stupide, le soleil était à son zénith, donc aucune entrée ni sortit n'était prévus dans cette tranche horaire. L'étalon bi-colore débarrasser de son cavalier, se dirigea sans peine vers les portes du fort bien entendue fermer à cette heure-ci. La jument se retrouva coincée, au bien sur elle tenta de s'échapper, mais rien à faire, Dystopie était toujours là avant elle ou juste derrière elle la coinçant. Le cheval qui ne se considéré en rien domestiquer la regarda de haut.

"- Soit ! Tu veux retrouver se que tu appelles "ta liberté". Je te le concèdes je ne connais pas vraiment ces mots, je suis né ici, dans le sable et la poussière. Mais j'avoue avoir discutée avec quelque chevaux de ton espèce, et le peu de chose que j'ai appris c'est que se n'est pas très gai, là dehors. Tu peux faire se que tu veux, d'accord. Mais quand tu as faim et que c'est la sécheresse ? Comment fait-tu pour te nourrir ? Ou même pour boire ? Je ne manque jamais de rien, alors certe je dois me coltinée quelques inconvénient, comme toute vie. Mais on a tous un but non ?"

L'étalon la tenait et elle le savait fort bien, que pouvait-elle faire ? Elle avait du muscle certe, mais elle n'avait que la peau sur les os. Elle haletait, la chaleur, ses efforts fournis pour rien et ses blessures ne l'aider en rien. Dystopie la savais condamnée, mais il avait tout de même ... Il ne savait pas. De la compassion ? Il n'en avait pas, il n'en avait jamais eu, il se savait soldat, certe mais il ne respectait pas forcement la réglementation qui allait avec. La jument avait les pattes tremblante, si il avait était gentil il l'aurait laisser là et serait partit chercher son cavalier pour lui laisser un espoir de pouvoir s'échapper. Mais il était sadique et cruel, et il avait une seule chose en tête, atteindre le pouvoir, alors il devait commencer petit à petit, il le savait. Mais il atteindrait son but un jour ou l'autre, et sa aussi il le savait.

"Tu me considère comme soumis aux hommes ? Moi je me considère comme manipulateur pour mon propre bien. Tu pences que je me sens puissant ? Je le suis car je m'en donne les moyens. Tu te demande se que tu vas devenir ici ? Je te répond que si tu veux devenir quelque chose ici il vas falloir te prendre en mains. Tu n'est rien ... Pour le moment tout du moins, tu veux devenir quelque chose ? Donne toi les moyens de l'être ! Mais si tu veux toujours t'enfuir, tu le pourras, mais il faudra que tu mettes ta fierté de coter un moment..."