Messages : 83 Points d'XP : 164 Date d'inscription : 30/04/2017 Age : 22
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Sujet: Le suicide est l'espoir de ceux qui n'en ont plus Lun 24 Juin - 18:53
ft. Libre
Le suicide est l'espoir de ceux qui n'en ont plus
Un nouveau jour se levait sur le camp, les hommes s’activait déjà tandis que les chevaux commençait à s’eveillait, Demi Lune avait sauté la barrière de son enclos de fortune peut avant les premiers rayons du jours, elle vagabondé dans la plaine voisine, ces pensée plongée dans ces souvenirs, comme a son habitude elle oubliée le monde qui l’entourait pour revoir les robes aux milles couleurs de ces compagnons d’antan. La liberté lui manquait, pourtant elle ne parvenait pas à partir, elle savait qu’elle n’était pas une solitaire, donc elle restait là… Vivre, une vie amer, sans joie, sans histoire, une vie plate, voilà ce qu’était devenus ça vie au file des jours qui était devenut des mois puis des années… Elle avait tout perdue, ces amis, ça liberté, sa fierté, les hommes lui avait tout prit. Ces pas la guidére jusqu’au terre sauvage et elle arreta ça course quand l’odeur de chevaux libre se fit sentir, elle ne tenait pas vraiment à en croiser, ils lui rapelleraient ce qu’elle avait était, ce qu’elle était devenue, le vent doux et frais dans ces crins pendant les galopades, le claquement des éperons sur ces flancs, tout se mêlait dans ça tête, ces rêves et la réalitée s’unissaient pour la torturer. Le traumatiqme causé par les hommes ne l’avait jamais quittée, elle avait peur constament, mais son instinct lui dictait de ne pas partir seul dans la nature, elle était devenue faible, meurtrie dans sa chaire et dans son coeur, incapable de survivre seule. Que pouvait-elle faire d’autre que de contempler la liberté et rester prisonnière de ces faiblesses, la mort la guettait et Demi lune ne savait pas vraiment comment elle parvenait à survivre dans ce monde qui semblait vouloir la détruire plus qu’elle ne l’était déjà, elle avait l’impression que son destin n’était que souffrance et douleur. Alors qu’elle regardait la plaine ensolleillé, elle se souvenait la douce époque de son enfance, la tristesse et les regrets brillaient dans son regard pendant qu’elle restait toujours là a contempler l’horizon. Elle était las, las de cette vie cruelle qui ne lui apportée que du malheurs, la mort devenait presque douce à ces yeux, mais elle savait qu’elle ne partirait pas encore a ces cotés, il était encore trop tôt, elle n’avait pas assez souffert, son corps pouvait subir plus même si son esprit se mourrait a mesure qu’elle restait au coté des hommes, chaque jours elle se battait un moins, voyait un peu moins la réalitée, elle s’enfonçait un peu plus dans son passé au file des jours, elle avait changée, elle avait abandonnée ça vie… Demi Lune, la douce jument capé qui n’avait voulu qu’une chose dans ça vie, elle qui ne voulait que vivre avec les siens, être libre, elle qui n’avait jamais rien demandé aux hommes et c’était toujours montrait enthousiaste pour s’occuper de son troupeau, elle qui avait attendu en vain de retrouver un troupeau pour vivre… Tout était détruit, piétinait par les hommes, ces amis n’était plus là, ça famille détruite et plus personne ne lui parlait, elle n’était plus qu’une ombre, un corps qui semblait dépourvu de vie, elle souffrait et la jeune jument qui avant était si joyeuse n’attendait plus que la mort, elle avait perdue espoir, elle avait tout perdu et face a cette plaine sous le soleil la douleur se faisait plus grande encore...
Sujet: Re: Le suicide est l'espoir de ceux qui n'en ont plus Sam 21 Mar - 16:23
THIS IS THE END … Ft Demi ^^
Ce sentiment qui nous pousserait à nous surpasser pour trouver grâce aux yeux d’un autre. De cet autre qui nous permettrait de vivre. Nous serions alors animés par une pulsion aussi belle que dangereuse, destructrice, d’un sentiment d’appartenance pouvant causer des ravages autant qu’il pourrait illuminer notre monde. Le rendre plus beau, plein d’espoir. Cette pulsion serait comme un feu. Un brasier incertain, causant rires et plaisirs, mais la flamme pourrait disparaître, en laissant place à la souffrance, à la douleur. Aux petits délices de la vie se succéderont les gémissements de peine. Pourquoi ? Ca ferait mal parce qu’il faut être deux pour avancer, main dans la main. La réciprocité est le mot-clé de l’amour.
Ce sentiment qui lui dévorait les entrailles, lui lacérait le cœur avec une puissance qu'il ne se serait jamais connu. Des larmes glacées qui lui roulaient sur ses joues les nuits où personne ne pouvait le voir. Des images qui le rendaient fou, dans son pathétique enclos, dans sa pathétique petite vie. Il se mourrait silencieusement, le fantôme ébène. Inlassablement, la silhouette de la jument aux crins d'argent se riait de lui, passant et passant encore devant ses pauvres yeux trempés de tristesse, lui susurrant des mots qui lui faisaient si mal. Il ne la retrouverait jamais, c'était certain. Et pourtant, une petite lueur d'esprit lui faisait encore vriller le cœur, comme si l'espoir avait encore sa place dans cette enfer de vie. Il n'y croyait pas vraiment, mais peut-être, sûrement que c'était l'amour qui lui jouait des tours.
Il sentait les regards rieurs autour de lui, sentait surtout cette solitude qui le bouffait doucement. Il était incapable de parler à quiconque. Il n'avait aucun ami. Personne pour se reposer, rien qu'un peu. Tous autour, tous autour ils le haïssaient. Il savait qu'il avait été un monstre égoïste, que lui aussi avait ricané sur le dos de ces autres. Mais c'était quand on était dans cette situation qu'on trouvait tout ça horrible. Il le méritait, certes, mais ça faisait mal. Et il ne le supporterait plus. Il fallait qu'il parte. Il partirait.
Et il prit son élan et sauta cette barrière alors que le soleil entamait à peine son voyage journalier. S'il avait fait attention, il aurait senti les échardes s'enfoncer sous sa peau, ces bouts de bois qui l'éraflaient. Mais il ne sentait rien, et partit, comme ça, sans un sourire moqueur envers Félix, qui le pointait du doigt en criant que son cheval s'échappait. C'était un peu comme un dernier souffle, un dernier espoir avant de s'écrouler. La retrouver, elle, la seule qui l'avait un peu aimé, lui, le bourreau niais.
Les yeux fous, les sabots fous, il s'échappait, sentant la chaleur déjà lui picoter son corps noir athlétique. Si bien que très rapidement il parvint dans cette clairière où les fleurs vivaient des jours heureux. Soufflant bruyamment pour tenter de se calmer, il aperçut cette jument, là-bas. Non, pas la sienne, non. Celle qui avait failli mais qui n'était finalement rien par rapport à l'autre. Demi Lune. Et ne sachant pas vraiment pourquoi il la rejoignait, il le fit, d'un pas incertain. Et se posta face à elle, le regard fuyant. "Je m'en vais à jamais. Tu seras enfin débarrassé de moi, quelle chance, pas vrai ?"
Le suicide est l'espoir de ceux qui n'en ont plus
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Suite au recensement, les effectifs ont été mis à jour et bénéficient à présent d'une toute nouvelle mise en forme !
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En ce moment, dans le Cimarron...
D'inquiétantes disparitions sont à signaler, touchant chaque groupe, mais plus particulièrement les indiens et les solitaires, qui sont plus vulnérables.
Les troupeaux se sont organisés pour se protéger de cette menace invisible ; celui de Forêt Noire reste groupé tandis que les gardiens du troupeau d'Atlas multiplient les tours du territoire et restent aux aguets.
Les indiens ont l'interdiction de s'éloigner du camp seul, les soldats ont renforcé les patrouilles et les nomades surveillent activement les enclos des chevaux, tout en constatant le pillage de leurs cultures et de leurs pièges, certainement dus à des cavaliers solitaires profitant des tensions dues aux disparitions.
Les solitaires, eux, doivent rester sans cesse sur leurs gardes. Les tensions sont vives entre les différents groupes, qui s'accusent mutuellement des disparitions.
Certains auraient aperçu d'étranges cavaliers montés sur des chevaux richement harnachés, qui semblent éviter le contact...
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