Sofia || Femelle - Groupe libre

Sofia est une jument toisant le mètre cinquante-huit, croisé entre le modèle plus sportif de la race et celui plus rustique, issue du berceau même des Danubiens ; Elle est donc plutôt robuste, mais garde une silhouette assez fine pour un cheval de trait.

La belle porte une robe aux multiples nuances be bruns, dont les extrémités semblent avoir brulé, de couleurs charbons. Particulièrement, la jument devient plus claire ou plus foncée selon les saisons, seule ses marques blanches, sa petite liste dévié ainsi que sa balzane garde la même teinte tout au long des temps changent, des années. La baie possède donc d'abondants crins ébènes, accompagnés de quelques reflets chocolats flatteurs. Quant à ses yeux ils sont assez clairs, abordant un ambre pratiquement décoloré, comme dévalé de par sa propre existence.  

La belle Sofia est, tout comme sa forme l'indique, une forme de gros nounours vivant. Aimable et extraverti, elle à le chique pour s'entendre avec presque tout le monde, ayant toujours été très sociable et sachant plus ou moins cerné les différents caractères. Elle reste amicale en toute circonstance et s'adapte très vite à tout les changements qu'elle subit. C'est aussi une jument de confiance, qui, contrairement à ce que l'on pourrait croire, n'est pas à moulin à parole insignifiante. Il est notable qu'elle est particulièrement pacifique et ne s'est presque jamais battu.

Cependant, elle reste une grande angoissée de la vie, un rien la fait stressée et même si elle a apprit à plus ou moins ce contrôlé, elle reste très vulnérable de ce côté-là. C'est pourquoi elle a aussi besoins des autres, pour l'épaulée de temps en temps. Le dernier point important à citer est sa plus grande peur, la jument est presque phobique du feu de puissa plus tendre enfants, élément qui ne cesse de la hanter.

Sofia est une petite jument, issue d'un croisement tout droit sorti d'un film : sa mère était une ancienne jument de trait revendue à la mort des propriétaires de la ferme, son père un étalon célèbre dans la région de part sa forme plus sportive, sa robe pétillante et même sa participation à une bataille en tant que cheval de guerre.

Enfin, tout cela était selon les dires, la baie n'a pas vraiment connue ni l'un ni l'autre, son père étant un étalon reproducteur et sa mère bien trop vieille pour avoir un poulain, qui lui causa de nombreuse complication, l'entrenaînant jusqu'au brasier, les flammes la mordant ardument devant les yeux horrifié de sa propre fille. C'est ainsi que la plus jeune eut une maman de substitution, une gentille ponette chocolat, qui la garda sous son aile aussi longtemps qu'elle le put.

Puis dès qu'elle fut sevré, Sofia fût vendue. Elle fit brièvement ses adieux à la ponette, puis entama un long voyage en compagnie d'autre chevaux : les jours défilaient, le paysage changeait, parfois ils voyaient le soleil, d'autres ils étaient dans le noir le plus complets, leurs sabots tâtant un sol inconnu.

C'est ainsi que la baie débarqua sur des nouvelles terres, dans une grande écuries, qui à sontarrivé était presque vide. Des grandes prairies hornaient son tout nouveau territoire et un homme, bien bon pour un homme, lui offrait à elle et aux autres tout les soins nécessaires pour vivre paisiblement, dans ce paradis qu'il avait lui-même construit.

C'est ici qu'on la nomma Sofia, nom qu'elle gardera n'ayant plus le souvenir d'un quelconque prénom. Elle vécut donc avec tous ses chevaux pendant une majeur partit de son existence, jusqu'à ce jour du moins.

Puis ce jour arriva, des bruits sourds déchiraient le ciel, des sifflements aigus infiltrait les bâtiments, la nuit semblait crier sa douleur. C'est alors qu'un son grave attira l'attention de tous, plus particulièrement lorsque celui-ci frappa le bâtiment. Prise d'une peur panique, la jument détalla au grand galop, profitant des nombreuses ouvertures créer par la chute de l'écurie pour s'enfuir. Elle traversa ainsi des plaines et des prairies avant d'arriver à se calmer, le souffle court, la jument s'aperçut enfin qu'elle s'était perdue, perdue au milieu d'une étendue émeraude...