« On dit que la légende de l'Ouest fut écrite sur la selle d'un cheval. Mais aucun cheval ne l'avait contée avec son cœur... Jusqu'à ce jour... »
 
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 Flamme

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Flamme

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MessageSujet: Flamme    Flamme  Icon_minitimeSam 10 Mar - 14:48



Flamme

« Vaut mieux être belle et rebelle, que moche et remoche! »

.


Personnage


Prénom : Flamme
Âge : 7 mois
Sexe : jument
Race : Rocky Moutain
Origine : Américaine
Groupe : Indienne
Grade : Pouliche

.


Physique


Flamme. Tu es jolie, pouliche de feu. Si l’on t’a attribué ce nom, c’est à cause de tes yeux. Ils pourraient envoûter et brûler la Terre entière, s’ils le voulaient. Ambres, telles les feuilles d’automne virevoltant puis se posant délicatement sur le sol orangé. Tes prunelles étincellent au soleil, et réchauffent les cœurs déchirés tout au long de l’année. Quelques semaines avant que les Lakotas te découvrent, ils étaient bleus, aussi purs que le ciel, ou que la mer agitée. Mais tu as gardé les caractéristiques de ce gène, et ils ont foncé.

Découvrons ensuite le reste de ton corps. Tout d’abord, comme tous les jeunes de ton âge, tu n’es pas parfaitement proportionnée, tes jambes plus grandes que le reste de ton corps. Mais, c’est comme ça qu’on vous reconnaît, vous, les poulains. Tu te tiens toujours droite, le regard vif, le port de tête altier. Une petite princesse qui ne recherche que les compliments de ses concitoyens, et qui est prête à tout pour être plus jolie, plus coquette, plus charmante que ses voisines. Tu n’as pas un tas de muscles, mais c’est normal, tu es encore jeune. Pourtant, on peut deviner que tu es une petite sportive, un futur corps athlétique. Tes membres sont assez importants et coriaces, d’où ta race de chevaux de montagne, qui est dotée d’une capacité déconcertante à résister aux hivers les plus froids et dans les montagnes.

Ta robe est champagne. Non, que dis-je, ambre champagne. Reconnaissons-le, la différence n’est pas flagrante. Qu’importe. Je m’égare. Si on le sait dès qu’on pose les yeux sur toi, c’est que ta crinière et ta queue sont orangés. Comme tes iris, tu me diras. Tes crins sont souples, bien que courts, mais doux. On en a tellement pris soin lors de ta plus tendre enfance qu’ils le sont encore. Ton corps quant à lui, est crème. Tu as un pelage assez consistant, si bien que les enfants adorent te caresser, tu es douce comme une peluche. À part cela, au fur et à mesure que l’on s’approche de tes sabots, la couleur ambrée réapparait sur tes membres. Ta tête, fine et intelligente est elle aussi claire, bien que tes naseaux noircissent légèrement.

Je finirais cette description physique par un élément que t’ont ajouté les indiens. Une petit feu orange réparti en trois flammes différentes sur ta croupe. C’est joli. Ça te décrit parfaitement et te donne une identité que les autres n’ont pas, et tu n’en es pas peu fière, c’est le moins qu’on puisse dire.

Tes allures sont typiques du cheval Rocky Mountain. Tu pratiques le rack et est généralement assez rapide sur cet intermédiaire du pas et du trot. Cependant, tu ne peux pas parcourir de longues distances de cette manière, au risque de trop te fatiguer. Tu es toujours fière de le faire, et adores quand on observe cette étrange allure, qui te vient de tes parents.

.


Caractère


Si tu étais aussi gentille que jolie, tu serais un réel ange. Mais, ce n’est pas du tout le cas. Une peste. Une petite pimbêche. Une vermine. Une morveuse. Ce sont les mots qu’utilisent ceux qui te connaissent, et qui ne souhaitent jamais te revoir. La plupart des gens, tu me diras. Nous allons un peu plus détailler ton caractère pour le moins peu sympathique.

Tu te nourris du malheur des autres, et te réjouis dès que leurs têtes se décomposent, parce que tu les as blessé ou touché. Tu n’es qu’une petite vipère, utilisant les mots comme venin. Ils s’engouffrent dans les esprits et tu ris gaiement quand on te tourne les talons, quand on est trop dépité ou chamboulé pour pouvoir te répondre. L’art de la répartie est aussi présent dans ton jeune esprit, que tu n’as jamais utilisé pour jouer avec d’autres poulains. Tu préfères faire souffrir.

Tu es aussi téméraire. Si téméraire que tu ne tremblerais même pas à l’idée d’affronter un Clydesdale, ou un chef de troupeau. Cela peut t’entraîner parfois dans de mauvaises positions, mais une chance à en faire ronfler de mécontentement les autres, arrivera toujours à te dépatouiller et sortir de cette posture peu confortable. Tu te ris du danger, du moment que ça t’amuse.

Ah, et j’oubliais ! Tu es narcissique, et déteste quand on se lasse de t’observer. Etre le seul et unique objet d’attention, que tous s’arrachent, chevaux ou humains, c’est ton seul but, si l’on omet le désir de faire souffrir. Rien ni personne ne t’empêchera d’être le nombril du monde, tu en es certaine.

Cependant, tu as une confiance aveugle envers les Indiens, et adores leur choyer des caresses, et rester collée à eux toute la journée. Mis à part quand tu cherches de la solitude, on te trouve à leurs côtés, à proximité du campement.

.


Histoire


Tu naquis dans une immense propriété, digne d’un conte de fées, du XIXème siècle, bien sûr. Un magnifique manoir en guise de maison, un jardin comportant une forêt et un lac, ainsi que de nombreuses prairies, une superbe écurie … C’est sur celle-ci que nous nous attarderons. Quelques chevaux appartenaient en effet à ces millionnaires américains qui dépensaient sans compter. Des étalons de renom, des juments superbes dotées de capacités toutes aussi différentes et utiles. Ta mère, une jeune poulinière, servait, elle, à accompagner le maître des lieux dans des lieux lointains et difficiles d’accès.

Dès ta naissance, des Hommes surgirent de partout, et coururent à ton chevet. Tout de suite tu les avais aimés pour leurs soins et leurs cris de joie, qui, certes te défonçaient les tympans, mais qui montraient qu’ils étaient heureux de te voir. Appréciée à ta juste valeur, tu parles … Immédiatement, tu devins la petite princesse, qui, sans cesse, avait des Humains derrière son ombre, pour une raison qui échappait totalement à tous, sauf à toi. Ta beauté les stupéfiait, sans aucun doute. Tu passais tes journées à caracoler dans la propriété, à déguster l’herbe du meilleur pré, et à recevoir sans raison des carottes par les palefreniers.

Quelques mois plus tard, tu en avais alors six, alors que tu vagabondais gaiement dans la prairie, accompagnée de ta génitrice, quelques poulains et leurs mères, vint l’épisode qui chamboula ta vie tranquille et belle. Une réunion semblait s’être formée dans le jardin. Les femmes étaient vêtues de robes, et tout le monde sirotait avec allégresse une boisson fruitée, qui parvint à tes naseaux veloutés. Une petite fille était au cœur du cercle, et criait de joie en te lançant des regards. Perplexe, tu jetas un regard au Maître, et hennis en retour, déçue de ne pas être au centre de l’attention. Tu te mis à danser, tourbillonner emportant avec toi ta crinière de feu, jetant de temps en temps des regards à la foule, qui t’observait avec attention et amusement. Voilà. Tu avais retenu l’attention de tout le monde, et tu en étais fière. Tous s’avancèrent, et te sortirent du pré.

Etonnée, tu laissas faire et tu vis la fillette s’avancer précipitamment, tout sourire. Elle te déclara quelques mots que tu ne compris pas tellement, comme quoi c’était son anniversaire, et que tu lui appartenais désormais. Sa mère essuya une larme qui coulait doucement sur sa joue tandis que son père, le Maître, lui fit un gros câlin en lui frottant les cheveux. Furibonde de ne plus être au centre des regards, tu t’avanças, et la mordis férocement. Qui était cette petite qui se permettait d’être plus intéressante que toi ? Qui ? Quelques convives hurlèrent, d’autres plaquèrent leur main constellée de bijoux devant leur bouche, et tu retournas dans le pré, ondulant comme une vipère.

Tu reçus les remontrances de ta mère, qui t’interdis de refaire une chose pareille, mordre un Homme, mais es-tu folle ma fille ? Tu ne l’écoutais même pas, trop interloquée et fière de ton geste qui en disait long sur le respect envers ces Bipèdes qui n’étaient rien par rapport à toi. Alors que le lendemain après-midi, tu rentrais à l’écurie, un des palefreniers qui s’occupait souvent de toi, te chopa par le licol et te sortit dans la cour, sourd à tes hennissements de panique et de colère.

Un autre Humain était là. Vous n’étiez que tous les trois, mais tu devinais les regards pesés sur toi, de l’autre côté du manoir, les rideaux se levaient et s’abaissaient régulièrement. L’autre sentait la Mort. Tu ne l’avais jamais connue, mais cet effluve se distinguait particulièrement des autres. Tu donnais des coups de cul, tu ruais, tu voulais fuir, mais on te tenait, on ne te lâchait pas. Qu’avais-tu fait ? Pourquoi avoir mordu cette petite fille ? Les interrogations des autres poulains te revinrent en mémoire, tu regrettais, tu regrettais plus que tout au monde. Mais pourquoi personne ne vient me réveiller ? Me dire que c’est un simple cauchemar, ce que tu peux être bête, Flamme ! Pourquoi maman n’est pas avec moi ? Dire qu’elle est en train de manger paisiblement, alors que je vais mourir ? Sonic ! Ascott ! Triomphe ! Venez me chercher ! Mère ! Ce Bipède n’a pas l’air très sympathique ! Il a des yeux vides, des orbites sans aucune expression …

En une poignée de mains, tu fus échangée. Direction la Mort. Tes cris, tes appels aigus, personne n’avait accouru, personne ne s’était dégagé de l’écurie pour venir te sauver … Et voilà que désormais tu te tais, tout est perdu … Celui qui te tient ne dit pas un mot, il reste concentré sur la route tout le trajet. Plus jamais tu ne verras ces arbres, cette butte qui t’avait tant interloquée, et les vaches, qui s’avaient tant intéressées, et le manoir … Et l’écurie … C’est fini … Un coup sec sur la longe, et tu lèves les yeux. Des terres magnifiques s’offraient à toi, semblables à celles que ta mère t’a conté de ses aventures vécues. Aucune maison à perte de vue. L’Homme détacha ta longe, et te murmura qu’il n’a jamais réussi à abattre des poulains, trop jeunes pour mourir ainsi. Une légère tape en guise de caresse sur la croupe, et il disparut.

Libre ! Tu étais libre ! Tu n’en revenais pas ! La chance a joué avec toi, et elle s’est décidée de le faire en ta faveur. Heureuse, tu t’élanças au galop, prête à faire le tour des prairies, des forêts, des lacs et des ruisseaux qui abondaient dans ce paysage trop beau pour être réel. Le soir passa avant que tu te rendes compte que la nuit approchait à grand pas et que tu n’aurais pas de boxe dans lequel t’allonger, contre le flanc de ta mère. Désormais, ta vie ne tenait qu’à toi. Après quelques heures dans le noir, tu trouvas refuge pour la nuit, dans un petit bois, qui ne te rassurait pas pour autant. Au loin, des odeurs d’équidés t’avaient interpellées, mais tu étais trop fatiguée pour aller les rejoindre, espérant qu’ils t’accueilleraient parmi eux.

Tu finis finalement par fermer l’œil, puis à t’endormir, épuisée. Tu fus réveillée par des jappements et des grognements incessants. Quoi ? Tu distinguas des pumas qui te tournaient autour, se léchant les babines. Aucune chance de t’enfuir, ils te tenaient. La Mort revenait, et cette fois-ci, tu la rejoindras. Un petit prédateur te mordait régulièrement les jambes, mais tu ne songeais même pas à le virer par deux-trois coups de sabots. Ta simple existence défilait devant tes yeux, tout te revint en mémoire, des souvenirs aussi anodins qu’inutiles. Alors que tu te remémorais ton premier pansage, des hurlements te réveillèrent de ta torpeur. Plusieurs Hommes surgirent de tous côtés, criant à tout rompre. Tes ennemis fuirent à toute vitesse en aboyant, effrayés.

Soulagée, mais choquée, tu te précipitas vers tes sauveurs, les détaillant du regard pour la première fois. Ils n’étaient que très peu vêtus, et portaient les mêmes effluves que les chevaux de la veille, lointains. Tu fis la connaissance des Lakotas. Tout joyeux, ils te ramenèrent au campement, en bas d’une montagne, qui te paraissait immense. Tu fus hébergée parmi eux sans soucis apparents.

.


Derrière les écrans


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Dernière édition par Flamme le Dim 11 Mar - 18:41, édité 1 fois
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Asrae

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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeSam 10 Mar - 15:07

Re-re-bienvenue à cette petite ^^
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeSam 10 Mar - 15:17

Re-bienvenue ! Hâte de RP avec cette petite vermine ;)
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeDim 11 Mar - 12:43


Décidément, les champagne ambre sont prisés en ce moment entre ta petite et Ambre x)
Tout me paraît bon, j'ai validé les codes (juste une petite précision, on utilise le terme "tölt" surtout pour les islandais, pour les américains c'est plus "rack" mais ça dépend de la race). Il ne te manque donc que le kit.
Il te faudrait aussi atteindre les 50 messages sur Blackhole pour que je puisse la valider ;)
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeDim 1 Avr - 17:36


Des nouvelles par ici ?
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeDim 1 Avr - 19:21

C'est bon pour mwa ! J'ai modifié ma présentation, Asrae m'a fait une superbe signa et Black' a ses 50 messages ^^ !
J'allais justement vous le dire, cher Atlas préféré °-°
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitimeDim 1 Avr - 23:41

Bienvenue à cette petite peste ! Tout est okayyyyy, je te valide donc :3 Bonnnn jeuuuuuu
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MessageSujet: Re: Flamme    Flamme  Icon_minitime

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